Enfin ! Après deux ans sans vacances, le prix à payer changer de continent et d’emploi, je reprends la route pour visiter la Roumanie. Ça commence par Timisoara.
Vendredi 15 juillet
Un court vol à partir de Memmingen m’amène dans cette ville que j’ai brièvement vue il y a quelques années. Je commence là parce que l’un des collaborateurs de mon blog de football y habite. J’ai ainsi l’occasion de me taper quelques bières avec lui avant de visiter le reste du pays.
Atterrissage, taxi vers l’auberge et je suis déjà en mesure d’aller en ville. Bonne soirée avec l’ami locale et sa copine. C’est toujours bien de pouvoir rencontrer les gens qui écrivent pour mon blogue, pour mettre des visages et êtres humains sur les noms.
Par la même occasion, je découvre le plat baptisé Mititei, une sorte de saucisse sans peau formée d’agneau et de porc. Très proche des Cevapcici qui sont populaires à Sarajevo. Ce n’est clairement pas fait pour les végétariens !
Samedi 16 juillet
Somme toute une journée très relax. Je vais me taper un café en ville avant le déjeuner, pour enchaîner avec un croissant et un jus au Symphony Café, que j’ai vu la première fois que j’ai visité Timisoara.
J’aime bien l’ambiance ici. Les gens ont tendance à passer du temps sur les terrasses en autant que la météo le permet. Ils sirotent un café pendant une heure ou deux.
J’ai déjà vu la ville elle-même, que je ne fais que revisiter du moins par nostalgie. Vous pouvez voir les photos ici. Elles sont meilleures que celles reprises aujourd’hui, notamment parce que la ville était plus calme il y a quelques années. Je sens déjà que la Roumanie gagne en popularité, du moins comparativement à 2009.
Le reste de la journée est marqué par beaucoup de flânage, une pizza dans un resto, un thé sur une autre terrasse et la planification des autres étapes du voyage.
Pour le reste, j’adore voir le mélange de places publiques où l’on néglige un peu de très beaux édifices, et un magnifique square qui a été complètement restauré. Timisoara est une ville vivante qui ne vous écrase pas par sa taille ou par un caractère ultratouristique. C’est bien, c’est relax et rien ne coûte cher.
Prochaine étape: Sibiu